Prudence Afanou 
Lors d’une conférence de presse animée vendredi 29 novembre au siège du Comité Olympique Togolais en présence du Président du CNO AKPAKI Deladem, Chris Jenkins a partagé son expertise sur les spécificités des Jeux du Commonwealth. Il a notamment mis l’accent sur les aspects organisationnels et les valeurs propres à cet événement sportif international.
Cette rencontre a été l’occasion pour les présidents de fédération de poser leurs questions et de s’imprégner des exigences et des opportunités que représentent les Jeux du Commonwealth.
Quelques innovations sont au programme et elles impliqueront les différentes fédérations qui vont devoir s’y impliquer. Au-delà des jeux du Commonwealth, il y aura également le premier championnat du Commonwealth qui se déroulera sur une longue période. Pour participer aux jeux du Commonwealth, il faudra d’abord se qualifier au niveau des fédérations nationales. Ensuite, il est envisageable de bénéficier des cartes d’universalité, comme cela se passe classiquement aux Jeux olympiques.
L’implication du Togo dans cette grande famille sportive est un signal fort de son engagement envers le sport et la coopération internationale. La participation aux Jeux du Commonwealth permettra aux athlètes togolais de se mesurer à des adversaires de haut niveau et de promouvoir l’image du pays sur la scène mondiale.
Pour Déladem Akpaki, cette rencontre renforce l’engagement du Togo : « Notre programme olympique débute en janvier 2025 avec, en point de mire, les Jeux Olympiques de la Jeunesse de Dakar en 2026, les Jeux du Commonwealth de la Jeunesse en 2027, et les qualifications pour les JO de 2028.»
L’enthousiasme des fédérations et l’expertise de Chris Jenkins laissent entrevoir une participation réussie du Togo aux prochains Jeux du Commonwealth.
