
Le Président du Conseil, Faure Essozimna Gnassingbé, a fait de l’éducation des jeunes filles un axe majeur de sa politique de développement social. Plusieurs programmes ont été mis en œuvre pour promouvoir l’accès à l’éducation et l’autonomisation des filles, notamment la gratuité des frais de scolarité, le projet d’excellence académique et le projet d’autonomisation des femmes et dividende démographique au Sahel (SWEDD+).
Des mesures concrètes pour l’éducation des filles
La gratuité totale des frais de scolarité dans les établissements publics a permis de lever un obstacle financier majeur pour de nombreuses familles, en particulier dans les zones rurales. La suppression des frais d’inscription aux examens nationaux contribue également à réduire les inégalités et à favoriser la poursuite de la scolarité des filles jusqu’à l’enseignement supérieur.
Une formation technique et professionnelle pour les jeunes filles
Le gouvernement togolais a également accordé une priorité à la formation technique et professionnelle des jeunes filles. La diversification des filières et la création de centres de formation sur l’ensemble du territoire ont permis aux jeunes filles de bénéficier d’une formation de qualité, adaptée aux besoins du marché.
Des résultats concrets
Ces initiatives ont permis d’enregistrer des avancées significatives en termes de taux de scolarisation des jeunes filles. Le taux net de scolarisation des filles au primaire est passé de 93,4% en 2015 à 98,5% en 2024, avec une parité fille/garçon de 1,01. Dans l’enseignement secondaire, le taux net de scolarisation est passé de 40,08% en 2015 à 57,48% en 2024.
Un avenir plus équitable et inclusif
À travers ces différentes initiatives, le Président du Conseil Faure Gnassingbé fait du Togo une nation équitable et inclusive où chaque jeune fille peut rêver, apprendre et réussir. Ces mécanismes ouvrent la voie à une société plus juste où la jeune fille peut participer pleinement au développement socioéconomique du pays.